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Marcher ou courir, on a désormais le choix

Les lundi 11 et jeudi 14 mars 2024, on affichait complet du côté de la Salle Les Cortils de Tourinnes-Saint-Lambert tant pour Je Cours pour ma Forme (JCPMF) d’abord avant la nouveauté, Je Marche pour ma Forme (JMPMF) qui rencontrait déjà un réel succès.

Malgré une météo maussade, ils étaient une cinquantaine à rejoindre la nouvelle séance JCPMF de printemps qui vient de débuter avec douze rendez-vous hebdomadaires.

Quatre animateurs étaient de la partie, ce qui permettait de proposer autant de niveaux adaptés à chacun. Parmi ceux-ci, Benoit Poncin qui s’occupait d’un des groupes : “Cela fait treize ans que l’initiative existe et l’idée est de courir en accompagnant les gens de la commune que l’on rencontre également. Être animateur pour moi, c’est l’opportunité de rendre ce qu’on m’avait donné. Le programme est vraiment bien avec des fiches qui nous apprennent par exemple à ne pas s'essouffler afin d’habituer son corps. Il y a parfois un côté encore plus convivial quand on va boire un verre ou qu’on se retrouve autour d’un repas. Et entre les séances, on continue même à courir avec les plus motivés.

Déjà complet pour JMPMF !

Ils étaient nombreux à attendre la nouveauté du jeudi et le programme “Je Marche…”. A l’initiative, Gisèle Tulpinck souhaitait remettre les personnes parfois blessées par “Je Cours…” à la marche. Résultat, un succès déjà impressionnant : “Le principe progressif est le même que pour le lundi. Je suis très contente du succès avant même de débuter mais étant toute seule pour le jeudi, je lance un appel vers d’autres éventuels animateurs. Cela nous permettrait éventuellement d’accueillir plus de monde car la demande est bien là.

Parmi la cinquantaine de participants, on retrouvait Aurélie Biston en compagnie de son chien qui n’a pas voulu rater l’occasion : “Je ne cours plus car je n’y trouvais plus de plaisir. Et ici, nous nous sommes dit avec plusieurs copines que c’était une chouette idée de pouvoir se retrouver en marchant. On s’attend à découvrir des chemins que nous ne connaissons pas mais également à se dépasser.